Le Palais de Laurent

La Bibliothèque : Rayon "littérature & poésie"

livre  bougie

Par cette page, je souhaite vous faire partager quelques avis sur une sélection  d'ouvrages que j'apprécie particulièrement. Je les ai accompagnés d'une citation permettant de commencer à entrer dans la magie du livre. Je vous laisse à présent fouiner parmi les rayonnages (et désolé si le rangement laisse peut-être un peu à désirer !) (et si vous souhaitez découvrir d'autres livres, rendez-vous dans la section suivante de ma bibliothèque) :

Giftwish Dans les forêts de Sibérie Smith of Wootton Major
Le bestial serviteur du pasteur Huuskonen Is-Slottet Le spleen de Paris
The Lord of the Rings Harry Potter Henri le Vert
Interview with the Vampire Macbeth Jacques le fataliste
Le nom de la rose Gaspard de la nuit Le pape des escargots
Neige His dark materials Le canard sauvage
Iliade Dracula Faust

 

" — Je vous présente ma fille adoptive, Étincelle.
Il n'y avait pas uniquement le fait que la jeune fille qui venait d'entrer et s'était arrêtée dans l'encadrement de la porte avant de s'avancer et de traverser le tapis, la main tendue pour les saluer, était d'une beauté frappante. [...] Avec ses cheveux noirs, ses yeux bleu foncé, sa démarche pleine d'entrain, on aurait dit la sœur jumelle d'Étoile. Il marmonna une salutation et se rassit, stupéfait par l'éclat brillant de ses yeux."

L'épée magique (1) L'épée magique (2)


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"La beauté ne sauvera jamais le monde, tout juste offrira-t-elle de beaux décors pour l'entre-tuerie des hommes."


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"In Faery at first he walked for the most part quietly among the lesser folk and the gentler creatures in the woods and meads of fair valleys, and by the bright waters in which at night strange stars shone and at dawn the gleaming peaks of far mountains were mirrored. Some of his briefer visits he spent looking only at one tree or one flower; but later in longer journeys he had seens things of both beauty and terror that he could not clearly remember nor report to his friends, though he knew that they dwelt deep in his heart. But some things he did not forget, and they remained in his mind as wonders and mysteries that he often recalled." (Smith of Wootton Major) "En Faërie, il commença par se promener la plupart du temps parmi les gens simples et les animaux les plus doux dans les bois et les prairies de belles vallées, ou auprès des eaux brillantes dans lesquelles, la nuit, luisaient d'étranges étoiles et, à l'aube, se reflétaient les cimes miroitantes de lointaines montagnes. Il consacrait quelques unes de ses visites plus brèves à la contemplation d'un seul arbre ou d'une seule fleur ; mais plus tard, au cours de voyages plus longs, il avait vu des choses aussi belles que terribles, dont il n'avait pas un souvenir très net et qu'il ne pouvait relater aux siens, tout en sachant qu'elles demeuraient au plus profond de son cœur. Mais il en était certaines autres qu'il n'oubliait pas, et il les conservait en tête comme des merveilles et des mystères qu'il se plaisait à évoquer." (Smith of Wootton Major)

 
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"Avant de s'endormir, le pasteur Oskar Huuskonen songea vaguement que si Jésus avait été Finlandais, marcher sur les eaux n'aurait pas été un bien grand miracle, en tout cas en hiver. Ce n'était pas une question d'ardeur de la foi, mais d'épaisseur de la glace."

 
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     Palais de glace


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"L'étranger
—  Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis? Ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ?
—  Je n'ai ni père, ni mère, ni sœur, ni frère.
—  Tes amis ?
—  Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu.
—  Ta patrie ?
—  J'ignore sous quelle latitude elle est située.
—  La beauté ?
—  Je l'aimerais volontiers déesse et immortelle.
—  L'or ?
— Je le hais comme vous haïssez Dieu.
—  Eh ! Qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
— J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! "


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"It is our choices, Harry, that show what we truly are, far more than our abilities." (Prof. Albus Dumbledore) "Ce sont nos choix, Harry, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes." (Prof. Albus Dumbledore)"

Harry Potter


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"Dieses ist der allerwunderbarste und schrecthafteste Tag gewessen, nicht nur allein, seit wir mit dieser unseligen Creatur zu schaffen, sondern der mir überhaupt in meiner ruhsamen Existenz aufgestoßen ist. Denn als die Stunde gekommen und es zehn Uhr geschlagen, haben wir uns hinter dem Leichlein her in Bewegung gesetzet und nach dem Gottesacker begeben, indessen der Sigrist die kleine Glocken geläutet, was er aber nicht mit sehrem Fleiße gethan [...]. Wie man aber so eben das Todtenbäumlein in das Grab hinunter senken wollen, hat man ein seltsamen Schrei gehört [...] und hat sich das Tödlein als lebendig aufgerichtet und ist ganz behende aus dem Gräblein gekrochen und hat uns angeblicket." "Ce jour-ci a été le plus extraordinairement merveilleux de tous et le plus terrifiant, non pas seulement depuis que nous avons affaire avec cette funeste créature, mais de tous ceux qui sont survenus dans ma paisible existence. En effet, quand l'heure fut venue et qu'il eut frappé dix heures, nous nous sommes mis en mouvement derrière le petit cadavre et rendus au cimetière, pendant que le sacristain sonnait la petite cloche, ce qu'il ne faisait pas avec beaucoup de zèle [...]. Mais comme on voulait justement descendre dans la tombe le petit cercueil, on entendit un cri bizarre [...] et la petite morte s'est dressée comme une vivante et a très lestement grimpé hors de la fosse et nous a regardés."


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"`I took your life,' I said. `He gave it back to you.'
`And here it is,' she said under her breath. `And I hate you both!'"
"— J'ai pris ta vie. Il te l'a rendue.
—  Et voilà, fit-elle dans un souffle... Et je vous hais tous les deux ! "


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"So fool and fair a day I have not seen."
"Un jour si noir et clair je n'en ai jamais vu."

 
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"Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien ; et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut."


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"Temi, Adso, i profeti e coloro disposti a morire per la verità, ché di solito fan morire moltissimi con loro, spesso prima di loro, talvolta al posto loro." "Redoute, Adso, les prophètes et ceux qui sont disposés à mourir pour la vérité, car d'ordinaire, ils font mourir des multitudes avec eux, parfois à leur place."

 
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"J'aime Dijon comme l'enfant, la nourrice dont il a sucé le lait, comme le poète, la jouvencelle qui a initié son cœur. - Enfance et poésie ! Que l'une est éphémère et que l'autre est trompeuse ! L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse, et la poésie est semblable à l'amandier : ses fleurs sont parfumées et ses fruits sont amers."


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"« Salut, Maconge, toit du monde celtique ! Maître des trois versants ! Centre sacré du triangle des eaux ! ». C’est ici même que le cheminot truculent se « débrayettait » pour se soulager trois fois en se tournant vers les trois points de l’horizon : « Une goutte pour la Manche, une goutte pour l’Atlantique, une goutte pour la Méditerranée ! »"


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"Une fois par vie, il neige dans nos rêves."

 
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“Why en’t you cold, Serafina Pekkala?”
“We feel cold, but we don’t mind it, because we will not come to harm. And if we wrapped up against the cold, we wouldn’t feel other things, like the bright tingle of the stars, or the music of the Aurora, or best of all the silky feeling of moonlight on our skin. It’s worth being cold for that.”
" Pourquoi n'avez vous pas froid, Serafina Pekkala ?
— Nous sentons le froid, mais peu nous importe car il ne peut pas nous faire de mal. Et si nous nous protégions du froid, nous ne sentirions plus tout le reste, comme par exemple le picotement brillant des étoiles, la musique de l'Aurore et, surtout, le contact soyeux du clair de lune sur notre peau. Toutes ces choses valent bien qu'on supporte le froid."

Les Royaumes du Nord  La tour des anges  Le miroir d'ambre

 
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Ekdal: [...] Står skogen bra’ deroppe nu?
Gregers: Ikke så gild som i Deres tid. Den er hugget svært ud.
Ekdal: Hugget ud? Det er farlig gerning, det. Det dra’r efter sig. Der er hævn i skogen.
Ekdal : [...] La forêt se porte bien là-haut ?
Gregers : Elle n’est pas aussi splendide que de votre temps. On a beaucoup abattu.
Ekdal : Abattu ? C’est dangereux, ça. Ça vous poursuit. Elle se venge, la forêt.

 
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Iliade 1 vers 1 à 7 "Chante, déesse, la colère d’Achille, le fils de Pélée ; détestable colère, qui aux Achéens valut des souffrances sans nombre et jeta en pâture à Hadès tant d’âmes fières de héros, tandis que de ces héros mêmes elle faisait la proie des chiens et de tous les oiseaux du ciel – pour l’achèvement du dessein de Zeus. Pars du jour où une querelle tout d’abord divisa le fils d’Atrée, protecteur de son peuple, et le divin Achille."


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"Nul homme ne sait, tant qu'il n'a pas souffert de la nuit, à quel point l'aube peut être chère et douce au cœur."


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"Von Zeit zu Zeit seh ich den Alten gern,
Und hüte mich, mit ihm zu brechen.
Es ist gar hübsch von einem großen Herrn,
So menschlich mit dem Teufel selbst zu sprechen."
"Je vois de temps en temps le vieux bonhomme et j'aime
A garder avec lui ce pied d'intimité.
Avouez qu'il est bien, pour le Maître Suprême,
De traiter le Diable lui-même
Avec autant d'humanité !"


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